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Stratégie Data

Nous avons maintes fois eu l’occasion d’entendre des directeurs informatiques, financiers ou d’entreprise se plaindre qu’alors qu’ils accédaient à toujours plus d’analyse et d’information décrivant ce qui s’est passé, expliquant les écarts entre des prévisions et des résultats, ou extrapolant ce qui devrait se passer dans le futur, sans avoir le sentiment de progresser significativement sur les points suivants :

  1. Des difficultés à mettre en œuvre la performance promise par les informations toujours plus nombreuses auxquelles ils accèdent par la business intelligence ou l’analytique
  2. La transformation en opérations efficaces des stratégies qu’ils élaborent sur ces bases.

C’est ce que nous appelons le Paradoxe du Conducteur Digital !

Synchrotech, avec les rétroviseurs

Prenons l’exemple de la multiplication des capteurs dans vos véhicules. Les informations de l’ordinateur de bord qui vous disent combien vous avez consommé, les radars de proximité qui vous disent si vous êtes bien garé, le navigateur, …

Néanmoins lorsque vous vous retrouvez dans un nuage de brouillard et que vous avez les mains sur le volant, toutes ces informations ne vous aident pas tant que ça voire au contraire vous déconcentrent de l’objectif quand vous devez retrouver votre route.

Et le brouillard est là pour nos entreprises quand elles sont confrontées à des environnements plus divers, souvent plus difficiles, moins prévisibles et moins malléables.

Justement La BI met en fait de manière flagrante l’entreprise face à ce décalage que l’on peut observer entre « le besoin » et « l’usage ». En effet, le besoin d’avoir des données – et les outils qui vont avec – pour mieux comprendre nos marchés, clients et performances des processus internes est incontestable. Avoir toujours plus de données n’est pas le problème. C’est même une chance de pouvoir « connaître pour agir ».

Malheureusement, dans le cas de la BI et des sciences analytiques, on croit malheureusement trop souvent que la puissance du logiciel acquis compensera d’une manière ou d’une autre la faiblesse patente de culture de gestion de l’organisation. Penser ainsi, c’est penser à l’envers, et donc se tromper car ce n’est pas le chiffre calculé par les logiciels qui fait la performance, mais la performance qui doit se nourrir du chiffre.

Ce qu’il faut réussir c’est l’usage de l’information, sa connexion avec l’exécution de l’action qui elle, ne se fait pas comme nous le souhaiterions c’est-à-dire en toute connaissance de cause

Vous souhaitez amorcer une réflexion générale autour de vos données et de leur utilisation au sein de votre organisation, faites-nous part de vos questions et de vos enjeux en nous envoyant un mail à : info@synchrotech.ch ou en remplissant ce formulaire.